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Analyse des pulvérisations

Stimulus, réponse et adaptation : La pulvérisation peut-elle devenir biologique ?


Cellules

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Oct. 20



Si l'on revient au cours de biologie 101, on nous apprend qu'un organisme s'adapte à un environnement par des stimuli. Vous êtes perdu dans vos pensées lorsque le feu rouge passe au vert et que quelqu'un klaxonne. Votre rythme cardiaque s'accélère, votre adrénaline monte en flèche et vous êtes soudain hyper concentré sur l'accélération. Le stimulus (le klaxon) oblige votre système endocrinien à se mettre en marche (accélération du rythme cardiaque, augmentation du taux d'adrénaline, concentration), puis une réponse se produit pour s'adapter avec succès à l'environnement (accélération).

De même, les grandes entreprises technologiques exploitent le pouvoir du stimulus-réponse pour prédire vos comportements et vos adaptations à l'environnement d'achat ou d'interaction. Prenons un exemple. Vous achetez une paire de chaussures de sport sur Amazon. Soudain, vous recevez des suggestions pour d'autres chaussures de sport et des équipements sportifs. Si vous donnez suite à ces offres, vous recevez d'autres suggestions, toutes un peu plus précises les unes que les autres.

Appliquons ce même concept à la technologie de pulvérisation. Avec les bons outils: laser, capteurs, caméras et logiciels pilotés par l'IA, nous pouvons intégrer l'adaptation biologique dans un système de pulvérisation. Par exemple, nous plaçons un capteur sur chaque buse que nous vendons et fournissons au client un dispositif d'accompagnement qui reçoit des mesures de débit et de pression en temps réel. Les mesures idéales de débit et de pression sont programmées dans l'appareil et, dès que ces mesures s'écartent, un signal est envoyé au client.

Dans sa forme la plus simple, nous avons un stimulus et une réponse. La mesure du débit ou de la pression d'une buse est anormale et envoie donc un signal au dispositif récepteur. Un tel système est en cours de développement et sera bientôt disponible. Rien que cela est révolutionnaire. Mais comment pouvons-nous maintenant passer à la réponse ? Comment pouvons-nous faire en sorte que ce processus imite les structures biologiques ?

Un système d'autoréparation est le premier qui vient à l'esprit. Le débit est trop élevé, un signal est donc envoyé au dispositif de réception, qui à son tour envoie un signal au système de pulvérisation pour réguler le débit. Les possibilités d'un tel dispositif sont infinies. Où voyez-vous des systèmes émulant des structures biologiques ? Comment pouvons-nous commencer ? Contactez-nous pour discuter du sujet plus en profondeur ou connectez-vous directement avec moi via LinkedIn.